convictions attachements
s’accrocher
tâcher de tenir
faillir
envier au lierre son obstination tranquille
un fidèle
convictions attachements
s’accrocher
tâcher de tenir
faillir
envier au lierre son obstination tranquille
un fidèle
Lu
Plan américain de Seth Greenland
Cent millions d’années et un jour de Jean-Baptiste Andréa
Un heureux événement de Flannery O’Connor
n’être personne de Gaëlle Obiegly
Vu
Film
En attendant Bojangles de Régis Roinsard
Spectacle
Rideau de Frères (KHAWA KHAWA) de Bouziane Bouteldja et Cie DANS6T
son portable sous le nez. selfie, leur front marqué d’une lourde traînée grise, il rit Avec Louis, mercredi, on a fait un saut aux enchères à Toulouse, puis filé à la cathédrale, archi pleine la cathédrale, c’était les Cendres, il reprend son portable. Content de son effet.
la lumière est belle en ce dimanche matin,
une vieille souche sur le talus, tourner autour et… il a plu ces derniers jours, un tapis de feuilles mortes, la lourdeur du sol,
glisser de tout son poids, se retrouver sur les fesses, se relever le téléphone bien en main, boueuse, endolori, tout ça pour une photo de plus, ridicule, en rire
Lu
Les Terres animales de Laurent Petitmangin
Tout homme est une nuit de Lydie Salvayre
Les femmes n’ont pas d’histoire d’Amy Jo Burns
Vu
Cinéma
La zone d’intérêt de Jonathan Glazer
Mambar Pierrette de Rosine Mfetgo Mbakam
L’étoile filante de Dominique Abel et Fiona Gordon
Spectacle
Les règles du savoir-vivre dans la société moderne de J-Luc Lagarce, mis en scène par Marcial di Fonzo Bo
soixante ans, prof de maths, devises, axiomes, théorèmes, baliser, maîtriser, quatre enfants, un gendre, trois belles-filles, des petits-enfants, elle assure péremptoire :
Avec eux, c’est simple, je m’en tiens à la règle des quatre C :
- pas de Critique,
- pas de Conseil,
- des Compliments
- des Cadeaux
et comme ça, ça va. Bon, ils sont loin, ça facilite, c’est vrai.
Lu
Au prochain arrêt de Hito Arikawa
Copeaux de bois de Anouk Lejczyk
La Revenue de Donatella Di Pietrantonio
Vu
Ciné
Romance inachevée d’Anthony Mann
Spectacle
Ombres portées de Raphaëlle Boitel
Une seule langue, le français, mais qui brinquebale de tous côtés d’approximations en bonheurs d’expression « il y a un grand longtemps, il habite pas le côté de la porte -la porte à côté - et dernier étonnement Tu te rends compte, Bernard, à ce qui paraît, il a acheté le tracteur au petit coin (sur le Bon coin).
Lu
Un été de Vincent Almendros
Un promeneur solitaire dans la foule d’Antonio Muñoz Molina
Vu
Spectacle
Fin de partie mis en scène par Jacques Osinski
Téléphone-moi mis en scène par Cie f.o.u.i.c/Clotilde Morgiève, Jean-Christophe Dollé