jeudi 12 novembre 2009

Années 60, accrochée à chaque maison, sa vigne.

Souvent une piquette dont nous ne voudrions plus. Une fête pourtant, la cueillette, fouler les grappes, attention fermentation, sinistres histoires d'asphyxie, Raconte encore, J'ai connu quelqu'un qui, goûter, commenter, Plus, moins sucré que l'année dernière, aux enfants C'est pas encore du vin, vous pouvez y aller, y pense en apercevant parfois dans un intérieur un petit tonneau récupéré et détourné, un bar, reste donc l'allusion, trop de soin une vigne, alors à la mort des vieux ça aussi on a laissé. Près de la cheminée, une sulfateuse se souvient.

4 commentaires:

  1. Ce... "bidon" ? (je ne sais pas ce que c'est) effacé par la rouille est fascinant. (La rouille a même effacé l'r d'"apercevant".)

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  2. J'ajoute tout de suite le r ! Merci de me lire avec attention.
    Sulfater pour "traiter" la vigne,les tomates,une "sulfateuse" donc, portée comme un sac à dos, ensuite actionner la manette sur le côté et légères éclaboussures bleues sur les feuilles. Un travail d'homme. Il se peut aussi que je dise des bêtises, j'oublie, "mais tu es née où" j'entends parfois,je vérifierai, touché à rien pour prendre cette photo, juste forcé un peu l'entrée.

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  3. Une sulfateuse effacée, donc, presque fossilisée à même le mur.
    ("mais tu es née où" est une bénédiction : vous êtes donc née quelque part.)

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  4. Née quelque part, sûr, une bénédiction, sans doute.

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