Il avance furieux, tordant ses mains de désespoir : photographier un lieu où tant ont souffert... indécent ? ... un patient revenu hanter les lieux ?
Imprécations, vociférations, quelque chose comme "
... peccato ...un bellissimo edificio in pietra ... crollando ... l'immagine di Italia",
"...
un péché... un si beau bâtiment de pierre... en train de crouler... comme l'Italie..."
en passant chez vous faire un tour, je revois ces photos de l'hôpital psychiatrique en ruines, que j'avais vues en leur temps via l'agrégateur /remercie / et ouvre le lien vers fernando oreste nannetti chez anima vagula /magnifique / remercie et relaie sur twitter / et en revenant chez vous, vois le semenoir mien dans votre liste de blogs / remercie encore
RépondreSupprimerÀ la suite du billet de ce jour (21 juillet 2024) sur le blog de Brigitte Célerier, me rappeler le si troublant passage à Volterra en 2010.
RépondreSupprimerSuivre le lien par elle proposé https://www.liberation.fr/arts/2020/04/02/fernando-nannetti-le-cri-etait-fresque-parfaite_1783992/
Trop compliqué ou je ne sais de modifier un billet très ancien.
Relire émue le commentaire de Maryse Hache. Je n’avais rien dit. Elle n’est plus. Pensées
Le lien vers le blog Paumée : https://brigetoun.blogspot.com/2024/07/festival-jour-22-nanetti-le-colonel.html?m=1
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