ce qui nous liait encore se tenait sous nos yeux
on portait un monde, personne pour ouvrir,
les chaînes de grincer, les portes de claquer,
si peu aurait suffi, on dansait sur des ruines
on portait un monde, personne pour ouvrir,
les chaînes de grincer, les portes de claquer,
si peu aurait suffi, on dansait sur des ruines
Ma maison exhibe aussi des tas de chaînes rouillées et pendantes. Je sais ces allées et venues bruyantes , vivantes des hommes et des bêtes.
RépondreSupprimerTa deuxième photo : un symbole, un lien… indéfectible.
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