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dimanche 29 septembre 2013
samedi 28 septembre 2013
Dr Maison, le blog du Doc "Baïgorry, c’est beau mais si perdu dans la montagne que les technologies ne passent pas toujours ! "
Génération Y
Vive les réseaux sociaux!
Une famille recomposée! D’un coté, un papa, Fred, avec deux enfants : Zoé, 16 ans et Nathan, 14 ans. De l’autre Béatrice, elle aussi deux enfants, Anaïs et Hugo, même âge. Cela fait bientôt 8 ans qu’un équilibre harmonieux règne dans cette petite villa du Bouscat. On y pratique la garde alternée et les enfants se retrouvent ensemble une semaine sur deux. Comme dit Fred :” j’ai une semaine de garderie, une semaine d’amoureux, c’est super !”
(...) Et puis, profitant d’une légère amélioration de l’état de santé de Fred, sa femme, entre deux dialyses, décide de l’amener se reposer en ce mois de juillet dans le Pays Basque, à Saint Etienne de Baïgorry. Dans ce petit paradis se trouve un hôtel où coule une rivière. Fred se sent bien, il regarde tous les matins les pêcheurs à la mouche se débattant avec des les truites sauvages. Il se régale sous les platanes des bons petits plats que Christine et Pascal lui préparent. II est heureux loin du tumulte du rein artificiel et de la brouille entre Zoé et Anaïs. Il lui arrive même de faire un peu de marche et de monter au col d’Ispéguy par le chemin des contrebandiers.
Un soir il déguste cette fameuse sangria blanche et monte très vite se reposer. Un orage violent l’empêche de trouver le sommeil. Cela l’importe peu, il est bien!
22 heures – L’hôpital de Bordeaux vient de recevoir un greffon rénal. On fait sonner son bip.
Baïgorry, c’est beau mais si perdu dans la montagne que les technologies ne passent pas toujours ! L’orage redouble et le téléphone est coupé dans l’hôtel. L’hôpital s’acharne en tentant, en vain, de joindre Fred.
... la suite, ici
vendredi 27 septembre 2013
jeudi 26 septembre 2013
Installation (28)
mercredi 25 septembre 2013
dimanche 22 septembre 2013
"... un raisonnement que je pensais rigoureux..."
(...) Puis sans transition [Georges Dreyfus] m'a demandé si je connaissais le Pays basque.(...) J'avais lu dans les journaux que Giscard avait décidé de retirer le statut de réfugié aux Basques espagnols vivant en France au motif que, l'Espagne étant devenue une démocratie, il n'y avait aucune raison de maintenir aux Basques la protection qui leur avait été accordée autrefois.
(...) Le spectacle était au bar, où un vieil homme en blouse blanche, maigre et sarcastique, pérorait au milieu d'un cercle d'étudiants en médecine. (...) Il était fier d'avoir, dans sa jeunesse au maquis, attaqué des convois allemands en lançant des grenades dans une chistera, parce qu'il était basque.
(...) Je me souviens de m'être rapproché pour l'écouter à cause de ce mot de basque, frappé par la coïncidence, et parce qu'il parlait de ses origines, ce que personne ne faisait à l'époque. Il ne se passe pas de jour à présent sans que l'inconnu qu'on croise ne se déclare fièrement breton, kabyle, musulman ou melkite. De tels propos eussent alors passé pour naïfs, vaguement obscènes, et blâmables. Mes amis et moi méprisions les niaiseries de l'enracinement.
(...) Lorsqu'un juge adopte une solution, c'est bien souvent que la décision inverse lui paraît impossible à rédiger, pas davantage. Pour sauver Ibarrategui -et par sauver, je n'entendais à ce moment-là que sauver son dossier, n'imaginant rien d'autre- j'aurais donc dû soutenir, sans preuves et sur la base d'intuitions, que l'état espagnol n'avait, au moins s'agissant de ses activités de police, changé qu'en apparence ; que les réseaux franquistes contrôlaient toujours le ministère de l'Intérieur ; que le ministre lui-même... Ai-je eu peur des conséquences ? Pas même et d'une certaine façon c'est bien le pire. (...)
La vérité est que je ne me suis pas attardé très longtemps. Je n'ai pas beaucoup hésité. (...) Je croyais que notre décision n'aurait pas de conséquences si graves -Ibarrategui se perdrait dans la nature et ne reviendrait jamais chez lui, comme la plupart de ceux auxquels nous refusions l'asile- et dès lors, rien ne m'empêchait plus de tenir, et de faire prévaloir, un raisonnement que je pensais rigoureux.
vendredi 20 septembre 2013
jeudi 19 septembre 2013
mardi 17 septembre 2013
dimanche 15 septembre 2013
Ronde (2) : les rêveries d'Euclide
Pour cette ronde de septembre, autour du mot "Rencontre(s)", j'ai le très grand plaisir d'accueillir Hélène Verdier de " loin de la route sûre " tandis que je me tourne vers "le blog graphique" de Gilbert Pinna, lui-même chez " un promeneur " ... et qu'ainsi, de blog à blog, roule la ronde :
" la distance au personnage " chez " quotiriens " chez " loin de la route sûre " chez
" même si " chez " le blog graphique " chez " un promeneur " chez " mesesquisses "
" la distance au personnage " chez " quotiriens " chez " loin de la route sûre " chez
" même si " chez " le blog graphique " chez " un promeneur " chez " mesesquisses "
Rouen, en attendant le train, en compagnie du cinquième postulat.
vendredi 13 septembre 2013
jeudi 12 septembre 2013
Fenêtres (13) : Tossa, paradis bleu
1934, un paradis bleu, oui, certainement, la Méditerranée, un petit village de pêcheurs, ses maisonnettes blanches, l'insouciance de la jeunesse,
bien avant les foules en tongs, la crème solaire, les boutiques, les restau, et un ennui vaguement coupable, il faudrait être plus heureux ici,
jusqu'aux rues à peine à l'écart mais désertées de tous, si semblables à d'autres rues, d'autres lieux, ailleurs,
bien avant les foules en tongs, la crème solaire, les boutiques, les restau, et un ennui vaguement coupable, il faudrait être plus heureux ici,
jusqu'aux rues à peine à l'écart mais désertées de tous, si semblables à d'autres rues, d'autres lieux, ailleurs,
un ailleurs épuisé
mercredi 11 septembre 2013
mardi 10 septembre 2013
lundi 9 septembre 2013
"Et s'il m'arrivait une lettre, venez vite me l'apporter, je l'ai attendue toute ma vie"
Je dois mourir je le sais
pour que la terre continue
sa petite marche tranquille
dans le jour et la nuit
Pour que ma voix s'incruste
comme un lichen en vos mémoires
avec les griffes de mes rires
et les mains liée de mes larmes
Je dois mourir pour renaître
chaque matin à la rosée
quand le ciel dans les yeux des bêtes
semble venir se reposer
Je dois partir
avant la tentation d'être un autre
avant d'être châtré par les mains de la gloire
je dois mourir pour être moi
O les étoiles de ma nuit
flamboyantes parmi les torches
c'est mon cortège qu'on emmène
sous les oliviers bleus du ciel
c'est ma jeunesse qu'on emporte
avec des cordes et des poulies
vers cet horizon dur sans porte
où je puisse accrocher mes doigts!
Dites quand tout sera terminé
pensez quelquefois à cet amour qui m'étouffait
Et s'il m'arrivait une lettre
venez vite me l'apporter
Je l'ai attendue toute ma vie.
dimanche 8 septembre 2013
samedi 7 septembre 2013
Château et dépendances (15) : le jardin
et pour entendre Georges Moustaki, Il y avait un jardin cliquer ici
{Parlé}
{C´est une chanson pour les enfants
Qui naissent et qui vivent entre l´acier
Et le bitume entre le béton et l´asphalte
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre était un jardin}
Il y avait un jardin qu´on appelait la terre
Il brillait au soleil comme un fruit défendu
Non ce n´était pas le paradis ni l´enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu
Il y avait un jardin une maison des arbres
Avec un lit de mousse pour y faire l´amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Il y avait un jardin grand comme une vallée
On pouvait s´y nourrir à toutes les saisons
Sur la terre brûlante ou sur l´herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n´avaient pas de nom.
Il y avait un jardin qu´on appelait la terre
Il était assez grand pour des milliers d´enfants
Il était habité jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus,
Où est cette maison toutes portes ouvertes
Que je cherche encore et que je ne trouve plus.
{C´est une chanson pour les enfants
Qui naissent et qui vivent entre l´acier
Et le bitume entre le béton et l´asphalte
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre était un jardin}
Il y avait un jardin qu´on appelait la terre
Il brillait au soleil comme un fruit défendu
Non ce n´était pas le paradis ni l´enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu
Il y avait un jardin une maison des arbres
Avec un lit de mousse pour y faire l´amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Il y avait un jardin grand comme une vallée
On pouvait s´y nourrir à toutes les saisons
Sur la terre brûlante ou sur l´herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n´avaient pas de nom.
Il y avait un jardin qu´on appelait la terre
Il était assez grand pour des milliers d´enfants
Il était habité jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus,
Où est cette maison toutes portes ouvertes
Que je cherche encore et que je ne trouve plus.
vendredi 6 septembre 2013
jeudi 5 septembre 2013
mercredi 4 septembre 2013
mardi 3 septembre 2013
de l'argent, on rénove,
moins d'argent, on arrête, mais la nature c'est bien, depuis chaque ouverture la voilà qui dégueule, à elle le dernier mot