des prés, des collines et le ciel
son fauteuil poussé là
la forteresse de son silence
parfois un appel du dehors
le visage s'illumine alors
sa fébrilité à partager
suivre son regard,
chercher,
ce jour-là,
un merle dans le pommier en contrebas
une grâce légère
la vie est là
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