soleil au zénith, l'été se fait accablant, aubaine d'un grand portail ouvert, une longue allée se perd dans l'immensité d'un parc, arbres vertigineusement hauts, des bancs, s'asseoir là, allonger ses jambes, tourner son visage vers le ciel, il a disparu dans les ramures, brise légère, pour un peu il ferait frais, puis c'est l'heure, à regret replonger dans la fournaise, croiser un couple, ils se hâtent, font cap vers votre banc, sur leur visage comme un soulagement,
se sourire
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