entendre et reconnaître avant même de voir, un faucheur,
Oroso, lundi 22 avril, 12h40 |
un peu plus loin, dans la trouée de lumière d’une toute petite clairière, un autre,
le temps d’approcher, il a pris son râteau,
le temps presse, quelques instants appuyé sur le manche de son outil Je suis à la retraite, ça m’occupe. Le malheur c’est que les jeunes ne veulent plus de cette vie, ils s’en vont, on reste seuls un sourire et il s’en retourne travailler .
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