deux sculpteurs, l’aîné, seize ans de plus, Oteiza est né à Orio, la bourgade à l’image, Chillida, lui, à Saint-Sébastien, l’élégante station balnéaire à côté, se souvenir d’un jeune guide lors d’une visite guidée de la grande exposition hommage Une conversation Chillida et son temps au musée San Telmo, il termine, la tension de l’exercice tombe, un relâchement, volontiers et généreusement, quelques échanges encore puis l’œil rieur Vous voulez savoir quelle est la plus grande œuvre d’Oteiza ? des regards s’échangent, attente, désir d’apprendre encore, peur de se tromper, tout cela mêlé, silence, il lâche La plus grande œuvre d’Oteiza, c’est Chillida, le silence se fait perplexe, son trait d’esprit a fait flop, il rétropédale et l’air contrit, C’est que je suis d’Orio moi aussi.
sourire, moi aussi n'avais pas compris (normal d'ailleurs)
RépondreSupprimerOui, l’un a pris toute la lumière mais le maître ne serait pas celui qu’on croit, surtout quand on vit à Orio, voire en Gipuzkoa !
RépondreSupprimerJ’ai repris ma copie chère Brigitte et tâché de rendre l’ensemble un peu plus clair.
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