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lundi 30 novembre 2015
samedi 28 novembre 2015
début des années 60 orthographe
j'étais nulle mais alors vraiment nulle, t'as pas idée, 0 tout le temps, j'étais dans une école d'application, les instits partaient souvent en stage, je me souviens d'une remplaçante en CE1 ou CE2, elle m'avait dit "Tu vois cet arbre-là-bas ?" il était très gros "tu tournes trois fois autour en courant et tu ne feras plus de fautes", je l'avais crue, me revois courant, ils s'étaient tous moqués, et quand j'y repense, comment avait-elle pu me dire un truc pareil ? n'empêche le temps qu'elle a été là je n'ai presque plus fait de fautes
mardi 24 novembre 2015
La journée de la ménagère
Librairie FERNAND NATHAN Dépôt légal : Novembre 1927
Imp. CRETE Dépôt légal : 1er trimestre 1956
30. La journée de la ménagère
1. La ménagère se lève avant le soleil. Elle embrasse ses enfants : "Debout, mes petits !" Elle surveille leur toilette, leur sert une soupe chaude et les envoie à l'école.
2. Puis elle balaie les chambres, frotte les meubles, orne et fleurit la maison.
3. Elle court au marché et prépare le déjeuner. L'après-midi, elle raccommode les vêtements ; parfois elle lave le linge.
4. C'est une journée bien remplie que la journée de la ménagère !
2. Puis elle balaie les chambres, frotte les meubles, orne et fleurit la maison.
3. Elle court au marché et prépare le déjeuner. L'après-midi, elle raccommode les vêtements ; parfois elle lave le linge.
4. C'est une journée bien remplie que la journée de la ménagère !
vendredi 20 novembre 2015
mercredi 18 novembre 2015
mardi 17 novembre 2015
je me souviens du vendredi 13 novembre 1992
Bayonne, un abonnement Scène Nationale. D'ailleurs disait-on déjà "Scène nationale" en 92 ? Pour cet abonnement, composer une sorte de bouquet et prendre un spectacle de danse au moins. Comment et que choisir ? Va pour La peau du monde d'Angelin Preljocaj. Choc d'un paysage dévasté traversé par des hommes, treize danseurs en marche vers un ultime dépouillement. Nous avec eux. Sur leurs traces. Musique lancinante et douce. Des pas de deux où approcher l'autre tenait du sacré. Émotion à laquelle rien ne m'avait préparée. Un sentiment de terre brûlée autour de ce moment-là, rien qu'un spectacle pourtant, devenu force vive. Être sortie rejoindre un ami dans un café. Le bruit, le blanc limé (limonade), trop de blanc limé, les blagues de comptoir. Je venais d'ailleurs, j'ai su ce soir-là que je ne le verrais plus.
dimanche 15 novembre 2015
un dimanche (25) matin à Pau : qu'écrivait le soleil dans l'ombre du gincko ?
on s'attardait,
un souffle,
une brise soudaine,
et il hésitait,
se ravisait,
on déchiffrait,
fugaces,
se ravisait,
on déchiffrait,
fugaces,
des bâtons, des boucles, des ponts,
une enfance,
balbutiements
Libellés :
Arbres,
boulevard des Pyrénées,
parc Beaumont,
Pau
vendredi 13 novembre 2015
mercredi 11 novembre 2015
il suffit de passer le pont
Il suffit de passer le Pont Georges Brassens
Il suffit de passer le pont,C'est tout de suite l'aventure!
Laisse-moi tenir ton jupon,
J't'emmèn' visiter la nature!
L'herbe est douce à Pâques fleuri's...
Jetons mes sabots, tes galoches,
Et, légers comme des cabris,
Courons après les sons de cloches!
Din din don! les matines sonnent
En l'honneur de notre bonheur,
Ding ding dong! faut l'dire à personne:
J'ai graissé la patte au sonneur.
Laisse-moi tenir ton jupon,
Courons, guilleret, guillerette,
Il suffit de passer le pont,
Et c'est le royaum' des fleurettes...
Entre tout's les bell's que voici,
Je devin' cell' que tu préfères...
C'est pas l'coqu'licot, Dieu merci!
Ni l'coucou, mais la primevère.
J'en vois un' blotti' sous les feuilles,
Elle est en velours comm' tes jou's.
Fais le guet pendant qu'je la cueille:
"Je n'ai jamais aimé que vous!"
Il suffit de trois petits bonds,
C'est tout de suit' la tarantelle,
Laisse-moi tenir ton jupon,
J'saurai ménager tes dentelles...
J'ai graissé la patte au berger
Pour lui fair' jouer une aubade.
Lors, ma mi', sans croire au danger,
Faisons mille et une gambades,
Ton pied frappe et frappe la mousse...
Si l'chardon s'y pique dedans,
Ne pleure pas, ma mi' qui souffre:
Je te l'enlève avec les dents!
On n'a plus rien à se cacher,
On peut s'aimer comm' bon nous semble,
Et tant mieux si c'est un péché:
Nous irons en enfer ensemble!
Il suffit de passer le pont,
Laisse-moi tenir ton jupon!
Il suffit de passer le pont,
Laisse-moi tenir ton jupon!
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lundi 9 novembre 2015
vendredi 6 novembre 2015
mercredi 4 novembre 2015
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