un mail, c’était elle, Iruña Cormenzana Lopez, l’auteur de la saisissante installation Eskubideak Chemins de main « (…) J’ai été agréablement surprise de voir mon travail traverser les frontières.
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mardi 5 novembre 2024
des nouvelles d’Iruña Cormenzana López
dimanche 3 novembre 2024
Lu et vu (122)
Lu
Sister Deborah de Scholastique Mukasonga
Juste avant l’Oubli d’Alice Zeniter
Que du vent d’Yves Ravey
samedi 2 novembre 2024
Conversation (39) en blablacar
La soixantaine massive, une grande barbe grisonnante, un côté patriarche, tatoueur Je n’exerce plus, j’ai deux gars qui travaillent bien à Madrid, je passe chaque samedi pour la comptabilité, la maintenance du site, la publicité, j’en profite pour embrasser ma mère, voir les enfants et je rentre tranquillement le dimanche soir, j’ai maintenant un petit atelier de céramique, le tatouage ça a jamais aussi bien marché qu’après la Covid, normal, après une crise, par exemple tu te fais larguer, qu’est-ce que tu fais, des achats au Corte Inglés, tu passes chez le coiffeur ou l’esthéticienne, ou alors tu te fais un tatouage, tu comprends, t’as besoin de toucher à ton image, t’es tatouée, toi ?