"Les bogues, couvertes d'innombrables piquants, éclatent : de grosses châtaignes vernissées montrent leurs joues luisantes. (...) Soudain, je m'arrête et j'écoute le chant de deux petits moineaux perchés sur un noisetier dénudé."
Magnifique et émouvant. Nul besoin de comparer votre prose à celle d'un élève d'aujourd'hui, expérience vaine et pour tout dire, trop démoralisante. Et puis, les forêts disparaissent non?
Magnifique et émouvant.
RépondreSupprimerNul besoin de comparer votre prose à celle d'un élève d'aujourd'hui, expérience vaine et pour tout dire, trop démoralisante. Et puis, les forêts disparaissent non?
RépondreSupprimerC'est mon plus beau cadeau d'anniversaire .
Vraiment.
Et julius marx qui apprécie ma prose ;) ...j'adore.
Merci
B.
@Julius : une élève rare
RépondreSupprimerà 9ans... sans nul doute un esprit brillant et qui a toujours su s'émerveiller.
RépondreSupprimerC.