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errer de pièce en pièce, les ronces enroulent leurs doigts griffus aux barreaux des chambres, le jour n'en a cure, il poursuit sa course, abstractions sur les planchers vermoulus, se souvenir d'eux, vieux tracteur, vieille charrette, vieille voiture, l'évier abandonné, un rameau de laurier se racornit, que Dieu protège notre maison, l'âtre, ce qui reste d'une cheminée qui a réuni, prendre avant le feu ou la benne le manche d'une vieille faux
Ce texte aussi est très beau et très émouvant....
RépondreSupprimermerci de votre passage et de votre curiosité pour mon petit blog que du coup je revisite sur vos traces, une pomenade dans des paysages presqu'oubliés, ah ! la mémoire
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