un bon grand gaillard, le visage rubicond, le regard bleu, les années heureuses en compagnie de sa mère, puis elle n'est plus, ensuite le relais d'une voisine pour le gros des courses au supermarché "ah ! non, je ne me vois pas pousser un chariot", le reste du temps l'épicerie au village à côté, on se voit brasse les nouvelles, enfin la retraite "j'ai bien fait de garder quelques vaches, au début j'étais perdu, j'ai même cru que j'avais les nerfs"
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