Il pousse la porte de la cuisine, l’air du dehors entre avec lui, il s’assied, cale ses coudes sur la toile cirée Tu vas prendre un peu de café, il est chaud, des protestations mais le temps de le dire et une petite tasse disparaît dans ses larges mains, sa voix rocaille, J’ai regardé le match à Oyonnax, il doit faire plus froid que chez nous par là-bas, les spectateurs, faut voir comme ils étaient troussés.
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