Sur le thème du (des) jeu (x) j'ai le plaisir aujourd'hui d'accueillir Céline
Tant qu'il y a jeu
Je joue
J’ai joué
Enjouée
En joue,
Le temps se joue de moi.
Je brûle ou j’ai froid ?
La flamme joue avec le feu
Entre l’inspire
Et l’expire,
L’apnée
Sans voix,
Fait des colliers de mots
J’univers imaginaire,
Unie aux vers,
Aux hymne originaires.
Côté face
je joue des maracasses,
Côté pile
J’en-file un tricot d’îles.
Le jeu se joue de moi.
Les dés sont jetés,
Déjouée
La roue aux vents,
Chance girouette.
Flou en jeu
Ou hasardeux ?
Reste une pirouette
Au sérieux élans
Tant qu’il y a jeu
On survit en croisant les doigts
Et pour déjouer le sort
Les participants de la ronde évoluent aujourd'hui dans le sens suivant :
Dominique Boudou
chez Jean-Pierre Boureux
chez Céline Gouel
chez Élise
chez Guy Deflaux
chez quotiriens
chez Hélène Verdier
chez Noël Bernard
chez Dominique Autrou
chez le promeneur
chez Dominique Boudou... etc.
Jeu de mains, jeu de vilain mais : jeu de pieds ... jeu de palmé, de paumé ou nicklés ?
RépondreSupprimerbut du jeu : prouver que l'on peut marcher normalement avec des palmes, et chercher l'eau dans un désert en passant par des mirages !
SupprimerOui, Elise, Céline, la ronde est un jeu décalé où l'on marche avec des palmes où l'on enfile un tricot d'îles comme des mots, où l'on se joue de tout et en premier du temps
RépondreSupprimerCe poème mérite une palme , pas académique, mais plutôt celle d'un festival de canes, ma foi Graaaa.....
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