Zarautz en Gipuzkoa. Elle est assise sur un banc, toute de noir vêtu, une sorte de grande aube, le voile. Petite cinquantaine. Une conversation en arabe au téléphone. S’asseoir à l’autre bout. Quelques instants plus tard, voix joyeuse d’homme, lever la tête To aspaldikoa littéralement Tiens celle d’il y a longtemps, Tiens la revenante ! elle se lève, ils s’étreignent. Une conversation animée reprend, en basque cette fois.
'adore ces saynètes que tu écris. Ces moments furtifs que tu saisis avec tant de perspicacité. (kwarkito)
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