un accès momentanément condamné à la salle de bain, cuisine évier cuvette, réminiscence, se laver les pieds, les filles d’abord, leur peau sensible d’enfant, des cris, ca brûle, les sortait, les replonger, ça refroidissait puis en dernier les pieds du père, les plus sales, venus de l’étable, sortis de bottes ou caoutchoucs, fétus de de paille, l’eau aussitôt marron, un empressement autour de lui C’est pas assez chaud elle est épela tiède va-et-vient vers le fourneau, oui, là ça va, parfois rarement changer l’eau, les robinets, l’eau courante, ce serait plus tard, faire attention, économiser, les pieds rougis en appui sur le rebord de la cuvette, ça gouttait, il attendait, son bras, un oihal torchon se tendait prestement, la mère, zipu batekin avec un chiffon l’eau par terre, un grand coup de rein l’eau de la cuvette pour les cochons, les fleurs le jardin mais ses pieds à elle c’était quand
belle scène
RépondreSupprimerMerci Brigitte. Votre lecture, votre regard me touchent évidemment.
RépondreSupprimer