Même si
"Le dire ne console pas de ce qui reste à dire."
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dimanche 15 novembre 2015
un dimanche (25) matin à Pau : qu'écrivait le soleil dans l'ombre du gincko ?
on s'attardait,
un souffle,
une brise soudaine,
et il hésitait,
se ravisait,
on déchiffrait,
fugaces,
des bâtons, des boucles, des ponts,
une enfance,
balbutiements
1 commentaire:
keka
16 novembre 2015 à 10:35
Super beau
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Super beau
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