lles métamorphoses de l’amaryllis,
après une semaine, Fin de partie, que nenni !
en plus, un brin de mimosa aérien butiné sur le chemin et quinze jours plus tard, il se déploie toujours
Lu
Ozu de Marc Pautrel
Au cœur de la maison d’Ella Yevtouchenko
Vu
Fipadoc de Biarritz
Un village en résistance de Catherine Catella, Shu Aiello
Ikea, le seigneur des forêts de Cavier Deleu, Marianne Kerfriden
Fanny, l’autre Mendelssohn de Sheila Hayman
Les sentinelles de l’oubli de Jérôme Prieur
La lumière des femmes d’Elise Darblay, Antoine Depeyre
Nous sommes la mer de Beñat Gereka Bikuña
Manouchian et ceux de l’affiche rouge d’Hugues Nancy
Feneen de Giulia Rosco
Ula d’Agnieszka Iwanska
Le dernier visiteur de Camille Ponsin
Au cimetière de la pellicule de Tjierno-Souleymane Diallo
Connaître la partition de Janine Hosking
1874, la naissance de l’impressionnisme de Julien Johan et Hugues Nancy
Retour à Raqqa d’Albert Solé, Raúl Cuevas
Against the tide de Sarvnik Kaur
20 jours à Marioupol de Mstyslav Chernov
Sauna Sisterhood d’Anna Hints
Hawar, nos enfants bannis de Pascale Bourgaux
Le temps dérobé de Helene Klodawski
La Shoah des ghettos de Barbara Necek
Congo-Océan, un chemin de fer et de sang de Catherine Bernstein
Spectacle
Tom na fazenda mis en scène par Rodrigo Portella
Lu
Pachinko de Min Jee Lee
Victor Hugo vient de mourir de Judith Perrignon
Un silence brutal de Ron Rash
Vu
Film
Sí seulement je pouvais hiberner de Eoljargal Purevdadh
Le règne animal de Thomas Cailley
La nuit des femmes de Kinuyo Tanaka
Parole de Basque d’Enrique Colina
Fipadoc de Biarritz
La ferme des Bertrand de Gilles Perret
Patrice Chéreau, irrésistiblement vivant de Marion Stalens
Joan Baez de Karen O’Connor
Riverboom de Claude Baechtold
They shot the piano player de Fernando Trueba et Fernando Mariscal
Spectacle
Le beau ballet d’amour, au château dans le cadre de la nuit de la lecture
Lu
Naufrage de Vincent Delecroix
Gloria, gloria de Grégory Le Floch
Au vent mauvais de Kaouther Adimi
Une poignée de vies de Marlen Haushofer
Vu
La Rivière de Dominique Marchais
Max Ernst de Peter Schamoni
Réunis pour les rois, à table donc, très fière de son fait de bravoure Il y avait une promo sur le Champagne mais impossible de la faire appliquer, c’était pas une affaire, juste six bouteilles, j’ai même fait appeler le chef de rayon, à la troisième fois, elle en pouvait plus, la caissière me dit Et là ça vous va? il me revenait à à peine un peu plus de onze euros, un peu que ça m’allait, je suis partie sans demander mon reste
Lu
Séfarade d’Antonio Muñoz Molina
La dépendance de Rachel Cusk
Être ici est une splendeur de Marie Darrieussecq
Vu
La beauté du diable de René Clair
une inquiétude diffuse, marcher pourtant, le monde, fantomatique et mouvant, a perdu ses contours, porter les mains à son visage, les lunettes, pas de lunettes, retourner mais c’est où chez soi
un groupe autour d’un homme, leur silence attentif, ils s’attardent près de la treille, bribes, Quand on arrête les politiques sanitaires, on a été obligé en 2015, un décret et c’est vrai qu’on on gazait tout le monde mais on sait pas, on sait rien, la vigne ici elle a pas aimé, elle savait pas faire face aux prédateurs, on est confronté à tout un tas de problèmes, alors on tâtonne pour relancer un équilibre perdu , on invente, par exemple des lâchers d’insectes, ça prend du temps, faut être patient, observer, la vigne on va l’arracher et la remplacer par des plantes grimpantes, colorées et résistantes, en deux ans ce devrait être fait, on a les autorisations, bien sûr, on décide pas tout seul
elle a l’Alzheimer joyeux, c’est elle qui devait décorer le sapin à la maison de retraite sauf que en accrochant les boules, patatras, elle est tombée et s’est pété le col du fémur, ils l’ont pas gardée longtemps, aujourd’hui, on te garde pas, une vis et c’est tout, elle est revenue la même, elle t’oublie dans la minute mais te fait une vraie fête quand elle te voit, on va sûrement passer lui rendre une petite visite
