… la lumière de l’automne encore
et un dernier coup d’œil depuis le grand magnolia avant de s’engager dans le parc
"Le dire ne console pas de ce qui reste à dire."
… la lumière de l’automne encore
et un dernier coup d’œil depuis le grand magnolia avant de s’engager dans le parc
Lu
L’inventaire des rêves de Chimamanda Ngozi Adichie
Soyez imprudents les enfants de Véronique Ovaldé
Haute-Folie d’Antoine Wauters
La passagère des neiges d’Ayfer Tunç
Vu
Spectacle
Velvet de Nathalie Béasse
Cinéma
Au revoir l’été de Kôji Fukada
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une aurore boréale, vraiment ?
un arrêt en descendant vers la place Gramont, la lumière est belle, le Hédas en contrebas,
le parc du château, prendre le pont d’Espagne, longer le golf, 1956, le plus vieux du continent s’enorgueillit-on ici, la passerelle de Jurançon, remonter le gave,
Les petits, leurs cris, leur agitation, non, décidément elle ne les supporte pas. Son air aussitôt agacé, un sujet de plaisanterie dans le groupe. Ce jour-là, un bambin trottine entre les tables de la pizzeria, on s’apprête à la charrier, elle coupe court, discrète rotation vers la-sans-enfants J’ai élevé les miens.
Nullipares et alors ? collectif coordonné par Chloé Delaume
Le livre le demande clairement : plutôt que de demander aux femmes qui n’ont pas d’enfants les raisons de ce choix, ne faudrait-il pas interroger celles qui, par passivité normative, le font et le transforment ainsi en automatisme, en comportement attendu.
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| Adour, 10 novembre, 17 heures |
Lu
Anna la Douce de Dezsö Kosztolányi
Tombée des nues de Violaine Bérot
mais bon, il avait besoin de moi, j'ai pas hésité, j'ai sauté dans le pantalon, les bottes, c'est des gens bien, et comme voisin y a plus que moi, les vieux ils sont au cimetière ou à la maison de retraite, y a bien quelques nouveaux un peu plus bas, mais c'est pour vous dire pas loin y a plus personne, le coin s'est vidé quoi, enfin cette nuit-là il m'a trouvé et encore heureux, on s'entend bien, on voit le travail un peu pareil, c'est pas des gens d'ici mais c'est des vaillants quand même, et elle comme lui, on se donne des coups de main, notre métier c'est pas si tranquille qu'on croit, c'est pas les petites fleurs et les petits oiseaux, non, faut pas croire, et puis c'est tous les jours, et y a des choses qu'on a plus faciles à faire à plusieurs, surtout ici dans la montagne, parce que faut pas comparer avec la plaine, c'est pas le même boulot mais alors pas du tout, ici on est restés à travailler comme autrefois, c'est pas très différent de mon père ou de mon grand-père, enfin quand même on a un autre confort, mais bon ça reste la montagne quoi, faut se la gagner, et pour revenir à cette nuit-là cette putain de congère elle était en train de monter exactement comme je me l'étais pensé, avec le 4 x 4 ça passait encore, deux ou trois heures plus tard je dis pas, sans doute ç'aurait été juste, mais là ça passait, je me suis garé devant chez eux je sais pas, dix minutes après peut-être, oh pas plus, j'avais fait vite (6)
Vu
Théâtre
L’Amante anglaise, texte de Marguerite Duras, mise en scène de Jacques Osinski
Cinéma
L’inconnu de la Grande Arche de Stéphane Demoustier
La Vague de Sebastián Lello