Que de tendresse vous avez pour ces animaux... Et comme je vous comprends ! Du bois, de la pierre, de l'herbe, du foin, de la paille et relire "Une famille d'arbres" de Jules Renard. Je suppose que vous devez connaître ce texte admirable qui me ravit à chaque relecture. Amitiés depuis l'Orée, Elise.
Je n'ai pas lu ce texte de Jules Renard, j'irai voir, merci pour cette piste... j'aime ce que vous nommez... tenter de le retenir... peine perdue bien sûr, ce que nous connaissions, l'instant lui-même, se défait et disparaît sous nos yeux... pourtant et Julio Cortazar l'exprime si simplement "Pourquoi, à certaines heures, est-il si nécessaire de dire : "J'ai aimé cela" ? J'ai aimé ces blues, une scène dans la rue, un pauvre fleuve à sec dans le Nord. Porter témoignage, lutter contre le néant qui nous balaiera". Oui, juste ça, porter témoignage, lutter contre le néant qui nous balaiera.
Que de tendresse vous avez pour ces animaux... Et comme je vous comprends ! Du bois, de la pierre, de l'herbe, du foin, de la paille et relire "Une famille d'arbres" de Jules Renard. Je suppose que vous devez connaître ce texte admirable qui me ravit à chaque relecture. Amitiés depuis l'Orée, Elise.
RépondreSupprimerJe n'ai pas lu ce texte de Jules Renard, j'irai voir, merci pour cette piste... j'aime ce que vous nommez... tenter de le retenir... peine perdue bien sûr, ce que nous connaissions, l'instant lui-même, se défait et disparaît sous nos yeux... pourtant et Julio Cortazar l'exprime si simplement "Pourquoi, à certaines heures, est-il si nécessaire de dire : "J'ai aimé cela" ? J'ai aimé ces blues, une scène dans la rue, un pauvre fleuve à sec dans le Nord. Porter témoignage, lutter contre le néant qui nous balaiera". Oui, juste ça, porter témoignage, lutter contre le néant qui nous balaiera.
RépondreSupprimer