au pied du funiculaire un groupe de quatre cinq très jeunes hommes. L’un râle Faut pas être pressé, montrer le raidillon, le boulevard juste au-dessus, À pied vous y êtes de suite, puis les observer, athlétiques, crânes rasés, de jeunes recrues ? et poursuivre C’est vrai que vous êtes chargés, ils sont lourds vos sacs, l’un, la mélancolie d’un sourire Le plus lourd c’est le cœur, ses copains se figent et le regardent
vous le dis une fois pour toutes celles où je passe et passerai en silence j'aimetant vos petites notations
RépondreSupprimerMerci Brigitte, très touchée par vos encouragements. Tellement de plaisir à retenir ces quelques instants et de penser que quelques autres, connus ou inconnus, ailleurs, s’en saisissent.
RépondreSupprimer