pas dormi de la nuit, faut que je récupère, j’avais le téléphone en silencieux près de moi mais sur le mode vibreur et elle a pas arrêté de m’envoyer des textos, enfin au moins trois ou quatre, sa fille accouchait
Même si
"Le dire ne console pas de ce qui reste à dire."
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mercredi 24 décembre 2025
mardi 23 décembre 2025
Santo Tomas Donostin (2) Saint Thomas à Saint-Sébastien
photo, selfies,
immortaliser.
course légère sur les trottoirs glissants,
un festival de parapluies,
à la ceinture le gobelet pour passer d’une buvette à l’autre,
un gobelet voire deux,
réduire le plastique sur la voie,
un défi collectif,
ne pas les abandonner donc,
trouver refuge au sein de son association,
dans la moindre encoignure de porte,
lundi 22 décembre 2025
Lu et vu (169)
Lu
Coupe sombre d’Oscar Peer
Lettres à la Bien-aimée et autres poèmes de Thierry Metz
La marche de Radzesky de Joseph Roth
Vu
Cinéma
Dites-lui que je l’aime de Romane Bohringer, adaptation récit de Clémentine Autain
Spectacle
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| hall de la Tabakalera, installation Julio Le Parc |
hall de la Tabakalera de San Sebastián EzBerdin Berdinak par la compagnie Kukai Dantza
Expositions à Bilbao
au Guggenheim
Maria Elena Vieira da Silva Anatomie de l’Espace
Vieira da Silva parlait rarement de son travail. Elle disait souvent : « Nous, les peintres, pouvons paraître stupides quand nous parlons. Nous savons beaucoup de choses, mais nous parlons à travers nos peintures ». A une occasion, cependant, elle a été contrainte d'expliquer sa méthode ; elle a alors réalisé une synthèse mordante : « En général, je n'aime pas les œuvres qui font étalage de leur difficulté. Je préfère ces autres œuvres raffinées qui nous permettent de sentir, de deviner de loin, la complexité des choses du monde ».
HISTOIRE TRAGIQUE MARITIME
OU LE NAUFRAGE
1944
Huile sur toile
CAM - Centre d’Art Moderne Gulbenkian, Lisbonne
L'ENTRÉE DU CHÂTEAU OU
HOMMAGE À KAFKA
1950
huile sur toile
Collection particulière, France-Portugal
Courtoisie : Galerie Jeanne Bucher Jaeger, Paris | Lisbonne
LES BARRICADES
1968
Huile sur toile
Fundação Ilídio Pinho, Porto, Portugal
à l' Azkuna Zentroa/Alhondiga :
Marisa Gonzalez, Une manière créative de faire
Marisa González (Bilbao, 1943) est une pionnière dans l'application des nouvelles technologies de reproduction et de communication dans la création artistique.
Depuis les années soixante-dix, son travail, qui se démarque des médias artistiques conventionnels, utilise des machines - photocopieuses couleur, thermofax et autres outils qui étaient à l'époque une technologie de pointe - pour concevoir un art qui n'est pas copiatif ou réplicatif mais génératif à travers l'introduction d'éléments nouveaux et originaux qui découlent de l'interaction avec la machine, et non de son simple fonctionnement.
Marisa González a ainsi créé sa propre méthode, un langage, dans lequel l'immédiateté, le hasard, la preuve et l'erreur prennent de l'importance. Cette anthologie, organisée par l'historienne de l'art et chercheuse Violeta Janeiro Alfageme, rassemble cinq décennies de production de l'artiste et montre une grande partie de ses grandes séries et projets. Au cours de sa carrière, elle s'est intéressée au thème féministe, aux mouvements sociaux, à l'architecture industrielle, aux déchets, entre autres sujets.
Son lien précoce avec le féminisme lui a valu une place de choix dans des recherches récentes sur les généalogies féministes de l'art institutionnel.
L'exposition rassemble certaines de ses séries les plus significatives, comme Violencia mujer, qui comprend l'œuvre La descarga (1975-77) ou la série Presencias (1981) avec laquelle elle mise radicalement sur le recyclage et la redéfinition des objets.
On peut également découvrir la série de portraits qu'elle a réalisés à travers le système graphique informatique Lumena ou l'installation Estación Fax/Fax Station, qu'elle a créée au Círculo de Bellas Artes de Madrid en 1993 et avec laquelle elle a encouragé entre artistes une dynamique plus communautaire, moins compétitive et plus horizontale.
dimanche 21 décembre 2025
Santo Tomas Donostin (1), Saint Thomas à Saint-Sébastien
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| Journal Gara |
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| Naiz, supplément dominical du 21/12 |
vendredi 19 décembre 2025
mercredi 17 décembre 2025
Petites choses (133) qui touchent
Ligne de bus Toulouse/Bilbao, changement de conducteur, elle passe le volant, encore une journée de travail terminée, la tension se relâche, son soulagement joyeux et à nouveau parler Tu sais ce qui m’est arrivé à… [arrêt précédent] ? On allait repartir et juste quelqu’un me rapporte une sacoche avec tout dedans, le passeport, un étranger, regard appuyé à son collègue sur le mode tu sais ce que c’est, toi, il ne bronche pas, les clés, tout je te dis ! Alors ni ni deux j’ai pas le droit, l’air bravache, alors, j’ai pris le gauche, au rond-point au lieu d’aller vers l’autoroute je suis sortie juste après vers la ville, ils étaient une poignée dans le bus à le guetter aux vitres, j’allais laisser tomber et faire demi-tour quand quelqu’un a dit Je crois que c’est lui là-bas, deux trois coups de klaxon et bingo Vous avez rien oublié que je lui fais, sa tête, tu peux croire qu’il était heureux, allez, bonne route
lundi 15 décembre 2025
Famille (16)
elle ne va pas fort, des vacances, sa sœur Ben non, on peut pas t’emmener avec nous dans les Alpes, cette année on prend le chien, y a plus de place dans la voiture



















