Épicerie portugaise, elle ne perd pas un instant, un peu de couture pour les temps morts,
tiens, autant de variétés de haricot,
"Pour la soupe, ils sont extra, ils doublent de volume", en rapporter, peut-être bien ceux-ci, sa joie étonnée "To, ilhar kaparona, tiens, des haricots.... traduction ?", on en faisait, mais cinquante ans au moins que je n'en ai pas tenu dans les mains.
Voyez ce que j'aime, outre le fil et les aiguilles, et le Portugal, et tout ce qu'il y a dedans, ce sont les bassines : et peut-être même d'abord, les couleurs de ces récipients détournés de leur usage tout en le remplissant (l'usage) tout autant et tout aussi pertinemment. Je ne vois pas bien, mais il me semble qu'on s'en sert avec un verre de plastique... Quelles jolies photos-évocations...
RépondreSupprimerJe ne suis pas allée assez vite : pour que la photo soit jolie, disparue sous la table la machine à coudre à côté du fil et des aiguilles, "ça fait désordre !" Pour servir le petit récipient en face de la bobine. J'avais aussi envie de montrer l'ingénieux meuble pensé pour accueillir ces bassines. Du solide, du massif. J'y reviendrai !
RépondreSupprimerAh! toutes ces graines dans leur immense variété me font penser à celles que l'on récupère d'une année sur l'autre car on ne les retrouvera pas à la vente.
RépondreSupprimerNe pas oublier de ramasser les pastèques avant les premières gelées et surtout ne pas oublier de les cuire en belle confiture dorée en décembre en épargnant quelques graines..
Sauver précieusement les graines des belles tomates à chair ferme venues d'on ne sait où....
Chère anonyme merci de passer par ici, la confiture de pastèques dorée, oui, mmmh ! et les graines de tomate, oui encore, goûté de délicieuses venues comme ça dans le jardin d'A.
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