Près du lycée, vol massif de fleurs
Certes, le préjudice n'est pas énorme (250 euros), mais le vol des fleurs plantées récemment avenue Georges-Moutet irrite fortement.
Hier matin, Robert Flous, l'adjoint aux travaux, s'est rendu à la gendarmerie pour déposer plainte. A l'origine de cette démarche, les vols de fleurs, racines comprises, constatés dans les terre-pleins tous neufs, aménagés de part et d'autre de l'avenue Georges-Moutet, non loin de la cité scolaire Gaston-Fébus.Les fleurs en question ont été plantées tout récemment par le service fleurissement de la Ville. Et beaucoup ont déjà disparu. De fait, deux vols importants ont été constatés, l'un la semaine dernière, l'autre hier matin.
Précisons bien qu'il ne s'agit pas de vandalisme ou de destruction gratuite, mais bien de vols. Ce qui veut dire que le ou les auteurs, qui ont agi durant la nuit, ont sans doute pour intention de replanter les fleurs dérobées chez eux ou ailleurs. « Quoi qu'il en soit, les agents de la Ville qui ont travaillé sur ce chantier sont désolés. Et puis, c'est l'argent du contribuable » pointe l'élu.
Certes, le préjudice n'est pas énorme - autour de 250 euros pour une trentaine de plants enlevés - mais il irrite fortement du côté de la municipalité. « Nous n'avons pas tous la chance d'avoir un jardin fleuri, alors nous avons fait en sorte que l'avenue Georges-Moutet embellisse la ville. Or, depuis quelques jours, ces plants sont régulièrement dérobés. Singulier comportement peu solidaire. Dorénavant, nous serons amenés à effectuer une discrète surveillance pour le bien de tous » explique-t-on ainsi en mairie. Une surveillance qui devrait être exercée par les gendarmes. (10 mars)
Qui en veut aux fleurs orthéziennes ?
Alors que la municipalité orthézienne se désolait, la semaine dernière, du vol des fleurs récemment plantées route de Mont-de-Marsan, d'autres fleurs de la cité ont été ciblées durant la nuit de mardi à mercredi. Mais cette fois-ci, il ne s'agit pas de vol mais de vandalisme. Un ou des individus ont en effet arraché toutes les fleurs des jardinières de la rue Aristide Briand. Un arbuste - un olivier - a également été déraciné aux abords de la salle Francis Planté.Dès hier matin, l'adjoint aux travaux Robert Flous et les services techniques constataient les dégâts et faisaient part de leur indignation devant ces actes. L'intéressé est allé porter plainte en gendarmerie, comme une semaine plus tôt, et s'est réjoui d'apprendre que la gendarmerie avait interpellé deux hommes vers 3 heures du matin. Mais, après interrogatoire, ces derniers ont été mis hors de cause et relâchés. On ne sait donc toujours pas qui en veut aux fleurs d'Orthez. (18 mars)
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