Amaren Alabak, (les filles de la mère, de la terre mère), avec simplicité, elles s'exécutent et chantent a cappella, esquissent un pas de danse, vous les croisez au hasard d'une fête de village, d'un festival, toujours un moment de pur bonheur, une aisance, une fluidité acquises par des années de travail dès l'enfance avec le père de Maika, le musicien Mixel Etchecopar.
Amaren Alabak : Maider Bedaxagar, Graxi Bedaxagar, Lüxi Agergarai, Arantxa Camus, Ihitz Iriart, Maika Etxekopar
Influences : Ce sont d’abord des chants de femmes de par chez nous, des chants basques, portugais, aragonais, italiens appris dans leurs maisons, dans la vallée de la Soule (Pays basque); et puis ce sont de vieilles histoires des villages alentour, des histoires de mort et d’amour que l’on veut encore raconter; il y a aussi les choses que l’on chante pour ne jamais les oublier : ce sont les vers qu’un curé écrivit en hommage aux femmes quelques siècles avant nous; ou bien l’amertume du poète qui sent la mort proche de notre langue et de la terre mère; enfin quelques chants pour danser et des danses chantées. Nous sommes un groupe de filles et de voix seulement. Nous allons avec nos petits bancs, nos bâtons ou Xixili, tout dépend…(source MySpace)
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