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mardi 7 juin 2011
pause
la lumière du soir, des collines, la maison, la dernière au bout du chemin, sa vigne, le troupeau qui s'égaille, après tout le paysage a-t-il tellement changé... soupir d'aise, sentiment d'immuable... s'attarder à la barrière, et quoi ! pas une haie, la nouvelle étable dans le creux, la maison neuve dans l'ombre de la première, l'ensilage... souvenirs alors de conversations, des aides financières à ceux qui défrichent, comment résister à de telles invites... un tiers de nouvelles terres conquises depuis les années soixante... c'était comment alors
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Et les champs qui, dans l'ombre,
RépondreSupprimerretiennent ce mystère.