Elles s’apprêtent à sortir, toutes deux d’alertes septuagénaires, l’une
T’as pris ton portable ? l’autre, fébrile, se tâte aussitôt, retourne ses poches puis le brandit soulagée
Maintenant, je fais comme les jeunes, je le mets dans la poche arrière du jean, je m’habitue pas et l’air piteux
j’y pense plus, j’oublie La première goguenarde
Tu apprendras, tu as le temps ! elles rient
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