Traiteur du coin de la rue. Passer la saluer. Neuf heures. Elle s'active. Poivrons découpés à toute vitesse. Joli, ça ? elle sourit, Normal, c'est aux couleurs de ton pays. Penser à l'ikurina. Puis téléphone, elle lâche son couteau.
Traiteur du coin de la rue. Passer la saluer. Neuf heures. Elle s'active. Poivrons découpés à toute vitesse. Joli, ça ? elle sourit, Normal, c'est aux couleurs de ton pays. Penser à l'ikurina. Puis téléphone, elle lâche son couteau.
c'est quoi, ikurina le drapeau basque, bon d'accord... des poivrons ou des piments ? les deux... très bien... et que fait-elle de ces poivrons ? Cuits ou crus ? Bon appétit !
RépondreSupprimerPdB
Oui, c'est vrai ça a soudain comme un côté cocardier qui ne vous échappe pas ;-) j'aime mieux penser à ceci, "euskalduna" duna, qui a, qui possède, et qui possède quoi sinon la langue... y a pire, non, comme manière de dire une identité ? Au passage j'espère ne pas dire trop de bêtises, cette langue je ne l'ai pas étudiée, la lis difficilement, ne sais pas l'écrire, elle m'a juste été transmise et il m'a fallu des années pour reconnaître le don qui m'avait été fait.
RépondreSupprimerEt bien sûr, je devine que je ne peux laisser cette question sans réponse, ce sont des poivrons, en ratatouille ou gratin d'aubergines et poivrons, mmmh !
c'est si appétissante!
RépondreSupprimerécrite il y a juste une année
tu nous y fais participer - mais j'espérais aussi la photo de celle qui coupait non seulement les poivrons rouge que j'adore, comme la ratatouille aubergines et poivrons aussi
as-tu depuis commencé montrer aussi des gens?
je n'ose pas demander, pas encore, la permission de montrer des images de visages, parfois j'aimerais bien pourtant...
RépondreSupprimer