Une chapelle dédiée à Saint Nicolas, pas d'évêque ou de chanoine ce 5 décembre, une messe toute simple, le curé d'ici, son basque précis et fluide, des fidèles du village d'Ostabat et d'Amikuze, chants, ferveur et poids du temps à l'œuvre, la porte est restée ouverte, il fait froid, quelques va-et-vient sous le porche et même des flash... sans doute pour la série "Autochtones se livrant à la prière".
trois ans de rénovation, Mais, oui... pas de problème pour quelques photos, le reste de l'année, il faut demander la clef à l'une des quatre fermes voisines
se reconnaître de cette histoire-là
et dans les images offertes, naïves et gauches, l'enfance. Une source et un réconfort.
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