traverse la prairie, au bout un sentier, il y a peu, elle l'empruntait, franchissait la colline, une visite à la famille, ils la raccompagnaient, du révolu,
on s'engage, insiste, on a dû manquer l'entrée mais non le sentier a bel et bien disparu,
trop tard pour un demi-tour, on s'attarde même un peu,
ce ne sera pas long croit-on, la ligne de crête semble juste là,
puis un coup d’œil autour de soi,
roncier, vous voilà lardée d'épines, ainsi sans doute de la mémoire inextricable, blessante, étouffante aussi, sortir au plus vite maintenant, ronde des vautours, et si,
heureusement l'ami ne vous a pas quittée
Le griffon est à son aise dans ces sortes de cardons
RépondreSupprimertraces, dans ce jeu présence-absence, le ciel, la végétation toujours triomphent, reprennent leurs droits, trouvent leur chemin, seule la mémoire humaine...
RépondreSupprimerLa vie ne tient qu' à un fil...
RépondreSupprimerbienvenue !
RépondreSupprimer... et, oui, on ne saurait mieux dire