les ans se sont accumulés, la vue baisse, pourtant toujours des heures à dessiner encore et encore, intérieur épuré et lumineux, elle aime s’habiller, se mettre en scène, une vie à être belle, ce jour pour le thé, un pull ivoire d’une chaude matière moelleuse, sur le devant l’ombre d’une tache minuscule, un aimant. sa main a dû trembler, la première fois, ne rien dire
C’est beau, tant d’attention à l’autre, à l’instant.
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