vers la Pierre St-Martin, 1er janvier 2025, 13 heures |
la gourde offerte par C. pour marquer le départ à la retraite, la « jubilación » disent nos voisins de l’autre côté des Pyrénées, ajouté par ses soins un mot en basque « zoriantasuna bonheur », en la sortant chaque fois penser à elle,
comme en ce jour dans la lumière de l’an neuf, Zoriantasuna deneri helduden urterandako Bonheur à tous pour l’an qui vient
Bonne année Élise :)
RépondreSupprimercette lumière et ces paysages sont éclatants de beauté. Alors à mes vœux précedent j'ajouterai que je te souhaite une année aussi lumineuse que ces photos
RépondreSupprimerBon alors quand ça arrive cette lumière-là, faut s’en saisir, un privilège, si gris aujourd’hui déjà…
RépondreSupprimerEt j'entends "le crissement meringué de la neige" (Ian Manook dans Les Temps Sauvages, expression reprise par Olivier Norek dans les guerriers de l'hiver). Belle année Élise.
RépondreSupprimerOui, Pierre « le crissement meringuée de la neige » je m’en souviendrai, exactement ça, en particulier sous les raquettes. Personne en ce premier matin de l’an neuf excepté quelques familles et leurs jeunes enfants, des luges des glissades, des rires, quelque chose de léger et joyeux, un jour rare, oui
RépondreSupprimerCette lumière presque éblouissante reflétée par la neige, superbe.
RépondreSupprimerAnnée-lumières, puiss e 2025 l'être pour toi!
Oui, Colo, grisant. Merveilleux et inattendu premier jour. Décidé la veille au soir, improvisé en voiture à la hauteur d’Oloron. Quelle vallée choisir ? Va pour le Barétous à cheval entre Béarn et Pays Basque. Béarn, Pays Basque, bien plus que des nuances quand on habite ici.
RépondreSupprimerCe matin, après un café, j'essaye de prononcer Zoriantasuna deneri helduden urterandako, tout un voyage déjà.
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