Même si
"Le dire ne console pas de ce qui reste à dire."
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dimanche 16 mai 2010
Parfois, là-bas, les murs
criaient
. Une torture. D'autres écoutaient. Ils effaçaient. On se taisait.
1 commentaire:
Anonyme
17 mai 2010 à 16:21
les horreurs...
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