Orio. La fièvre immobilière. Toujours. On détruit, on casse, pour venir se coller sur le bord de mer.
Il y a peu, ils habitaient là. Des vieux. Sur le balcon, oubliée, une plante. Vivace.
Tout un quartier qui saute.
Portes ouvertes sur des jardins sauvages
Ensuite un autre visage. Comme ici à l'entrée de Lekeitio.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire