Rechercher dans ce blog

samedi 22 mars 2014

Cahier mensuel (1) : vendredi 26 octobre 1962

 

















"Les bogues, couvertes d'innombrables piquants, éclatent : de grosses châtaignes vernissées montrent leurs joues luisantes. (...) Soudain, je m'arrête et j'écoute le chant de deux petits moineaux perchés sur un noisetier dénudé." 

 

4 commentaires:

  1. Magnifique et émouvant.
    Nul besoin de comparer votre prose à celle d'un élève d'aujourd'hui, expérience vaine et pour tout dire, trop démoralisante. Et puis, les forêts disparaissent non?

    RépondreSupprimer

  2. C'est mon plus beau cadeau d'anniversaire .
    Vraiment.
    Et julius marx qui apprécie ma prose ;) ...j'adore.
    Merci
    B.

    RépondreSupprimer
  3. à 9ans... sans nul doute un esprit brillant et qui a toujours su s'émerveiller.
    C.

    RépondreSupprimer