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mardi 24 novembre 2009

Plus rien de l'Hôtel du Funiculaire. Échappée nouvelle sur le Boulevard des Pyrénées. Elle, tête tournée vers, T'as pas pris l'appareil photo ? Lui Pourquoi que je te prendrais en photo, je te vois tous les jours.

Voir Ramon Opalka

2 commentaires:

  1. il ne prend plus l'appareil de photo pour elle, mais pourquoi elle ne le prend pas, elle?

    déjà, pendant mon voyage de noce, j'étais dépitée, et je m'en souviens encore après tant des années, qu'il prenait des toits des maisons etc au lieu me prendre moi, encore et encore!

    maintenant, c'est moi, qui photographie des autres, et oui, ils ou elles sont heureux de l'attention que je leur donne, mais comme inconnue, ne s'y attendent pas, alors, je peux prendre le vent en haut des arbres aussi,

    mon coeur se serre, en lisant ta note pleine de nostalgie

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  2. Oh ! Julie que c'est gentil de me lire... et je suis si heureuse d'avoir découvert votre blog !
    L'homme dans le funiculaire avait oublié l'appareil photo, elle pour ce qui m'a semblé une femme discrète, dans l'ombre de son homme, regardait vers le haut, lui la dévisageait, bien campé,jambes écartées dans son jean, anorak goretex, sûr de lui, genre pub pour Vittel, je fais du sport moâ ! et sûr de son effet, il y avait du public...
    Merci vraiment de l'attention que vous me donnez. Quant au vent en haut des arbres c'est bien beau aussi.

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