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jeudi 4 février 2010

 
Glorieux dans la lumière d'hiver le cri

 
mais voilà qu'on le grime, 

 écrasé, il se voile
   
et réduit au geste, un autre cri, son doigt.

2 commentaires:

  1. on est à l'abri nulle part de la laideur - triste, vraiment.

    et souvenir d'être passé avec toi devant ce visage

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  2. Arnaud, j'en suis sûre, ce visage n'a pas dit son dernier mot. Quant à nos promenades du vendredi au parc du château, le souvenir de moments précieux.

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