Mundaka |
sans doute un livre de la bibliothèque rose, lu et relu, un enchantement, une petite fille vit seule avec sa mère, son papa est mort,
elle rencontre un oiseleur, dans ce mot déjà la promesse d'un monde plus vaste, il vit seul,
peu à peu elle le rapproche de sa maman, à la fin de l'histoire, elle les invite tous les deux, elle a acheté du pâté en croûte, encore un moment à rêver, imaginer... le pâté en croûte... un exotisme...
Ernest Pérochon viendrait, un autre choc, mais plus tard
"Qui connaît aujourd’hui Ernest Perochon ?"
RépondreSupprimer... et Erckmann-Chatrian ? ...et l'armoire vitrée aux livres dans la salle de classe... une classe unique, le chêne de la cour, les iris qui couraient sous les fenêtres, les WC à la turque, entre celui des garçons et celui des filles, le bûcher, le préau pour jouer à la porte (un jeu de balle contre le mur), de l'autre côté de la murette (nous disions muraille, elle paraissait si haute !)le fronton, aller à pied à l'école, manger froid, une petite gamelle bleue, sur les marches de l'école... années soixante... oui, pas d'aujourd'hui
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